dimanche 25 septembre 2011

Alexia - Quand nous étions morts de Francesc Mirailles


Quatrième de couverture :
   Un village catalan accroché à la montagne. La mer au pied de la falaise. Le chemin qui monte au cimetière.

   Depuis la mort de mon frère jumeau, j'erre dans cet univers. Quand le chant de cette fille, étrange, surnaturel, comme venu d'outre-tombe, je crois revenir à la vie. Alexia. Troublante, terrible Alexia. Mon nouvel horizon.

   Pour la seconde fois, ma vie bascule. Voici "Retrum", l'histoire de ma descente aux enfer.

Mon avis :
   Eblouissant, magnifique, boulversant, incroyable, gigantesque... Il faudrait inventer un mot encore plus fort que ceux-là pour qualifier ce livre.
   Il nous emporte dans un univers que l'on qualifie de glauque, noir et qui pourtant, grace à ce livre, est fait de joie et d'amour. Avec ce livre, on a peur, on est étonné, on est en colère... et ces sentiments sont tellement bien réparti qu'aucun ne fait tache. Arrivé au millieu de ce merveilleux roman, alors que tout ce qui c'est déjà passé est fantastique, on se rend conte que ce n'est pas du tout fini et que le niveau monte d'un cran.
   Pour les personnages, je me suis attachée à Christian, qui est notre narrateur, qui retrouve soudain le goût de vivre. Les autres personnages mon beaucoup plus aussi mais c'est lui qui m'a marqué.
   Ce livre passe tout seul, il n'y a jamais de détaille en trop ou en moins. Il y a aussi des citations au début de chaque chapitre. Voilà une de mes préférés :
"Il est stupide de placer un mur autour d'un cimetière :
   ceux qui y vont ne peuvent pas en sortir
   et ceux qui n'y sont pas ne veulent pas y entrer"
                   Arthur Brisbane, the book of today

   Et c'est sur cette magnifique phrase que la fin est arrivé : "Laisse mourrir demain"

Note :
   5/5
   Un roman vraiment très bien. J'en suis encore toute retournée.

Coup de coeur

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